Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on l'interrogeait...
L'homme a refusé de reconnaître qu'il avait menti en affirmant qu'il était mort.
L'homme refusa de nous présenter ses papiers qu'il n'avait pas...
L'homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche.
L'homme nous parla de son affaire qui n'était pas bien grosse au début mais qu'il avait réussi à faire grossir grâce à son épouse...
Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils...
Les 9 coups de couteau relevés sur le cou de la défunte laissaient à croire à une mort qui n'était pas naturelle...
Maîtrisé par nos soins l'homme s'est enfui à toutes jambes...
Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...
Il est probable que le suicidé a été lâchement assassiné.
L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire.
Dés que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
L'homme accepta volontiers de nous suivre contre son gré.
L'homme répondit verbalement qu'il ne répondrait que par écrit.
L'homme rentrait tranquillement chez lui sans s'apercevoir qu'il était mort.
Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eut lieu...
Assis dans sa voiture l'homme faisait mine d'attendre l'autobus.
Arrêté par les gendarmes le voleur les a menaces d'appeler la police.
Toute la brigade ne fut pas assez nombreuse pour être assez.
Selon ses dires l'homme est mort vers 16h35.
Nous avons pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.
C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.
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